Enfouies au creux
de nos mémoires, des Belles aux Bois dorment dans une forêt de signes,
de signaux et de symboles : un labyrinthe à la fois indicible, mystérieux et loquace.
Elles dorment dans les plis, les replis et les motifs de notre mémoire assoupie,
frappée d’un sortilège d’oubli, d’amnésie ou d’abandon.
de signaux et de symboles : un labyrinthe à la fois indicible, mystérieux et loquace.
Elles dorment dans les plis, les replis et les motifs de notre mémoire assoupie,
frappée d’un sortilège d’oubli, d’amnésie ou d’abandon.
Cachées,
inaccessibles, il faut toujours pour les réveiller en passer par
de longues
batailles aux issues incertaines,
par des parcours
quasi initiatiques,
combattants,
arbitraires.
À l’issue de cette
quête, il suffit parfois d’un
regard pour les découvrir,
les « inventer » comme un
trésor, pour les sortir de ce puissant sommeil, leur redonner vie…
les animer.
les animer.
Eveil en septembre à la Tase...
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